
Chaque élève présente une tolérance à la non-connaissance, à la non-compréhension, diffé-rente, chaque apprenant offre sa propre histoire de vie, ses propres ressources d’apprentissage, son vécu scolaire, son propre filet de sécurité familial.
Pourquoi opposer une telle résistance aux demandes d’aménagements raisonnables ? Pourquoi notre enseignement ne respecte-t-il que très peu les faiblesses cognitives qui ne se voient pas directement ? Pouquoi nos enseignants, les autorités scolaires, ne comprennent-ils pas, pour la plupart, que les élèves victimes de DYS, de TAS, fournissent beaucoup
« Je préfère rester à la maison pour étudier mon cours de … parce que je n’apprends rien en classe, alors autant passer ce temps à étudier ce cours chez moi. » Une étudiante de 16 ans. Ici, nous justifions l’urgence d’une approche pédagogique qui utilise Internet, tellement plus heureuse,